L’oeillard de cristal
Je demeurais enfermé
Dans un oeillard de cristal
Il faisait si froid
Dans cette eau-là singulière
J’avais bâti mon abri
Que de tes mains
Ces hommes étrangers venaient
Gaspillant toujours, dans les recoins
Le silence
Et pourtant, des fois,
Un souvenir