Je veux connaître ce qu’il y a là-bas dans les ténèbres, dans le repaire qui rendent l’homme différent du bœuf. Car l’homme aime la tubéreuse et le bœuf broute l’herbe.
A mon avis, mon camarade, tout homme comme toute femme possède un coffret secret. Là demeure l’âme et la mort. On en rajoute sans cesse, au fond de ce coffret ou bien entre ses parois en feuilles de chair. Et on ne retire plus, par crainte de dévoiler ce qu’on dissimule.