Sur le rivage de ton cœur
Ce fut d’abord
Le silence des fleurs des tilleuls,
Ennuagé miroir dans la braise de tes yeux.
Dans leur humble feu,
Diaphane, ton cœur vitreux.
Ce fut après
Son rivage
De cœur noirci
Qui me demandait,
Et le tumulte de mon cœur
Qui me poussait
Pressé.