« Ce n’est pas vrai du tout que l’être humain soit une créature qui comprenne la vie. Son intelligence ne lui sert pas à grand-chose ; par le fait qu’il parle, il n’en est pas moins bête. Mais là où sa bêtise dépasse même l’inconscience des animaux, c’est quand il s’agit de deviner et de sentir la détresse de son semblable. »
Panaït Istrati, en : Kyra Kyralina, préface de Romain Rolland, Paris, Gallimard, 2013, p. 187
© Rieder et Cie, 1923 pour la première édition