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Archives de catégorie: 01.I. INTERVIEWS

Interview de Lina Stern

Posté le 13 juin 2020 Par Marilena Publié dans 01.I. INTERVIEWS, 06. VUES DE L'ODÉON, 06.A. PARIS ET MOI, 06.C. Photothèque .

Marilena Lica-Masala

en dialogue

avec

Lina Stern

calligraphe, artiste photographe

Motto

« L’asémique est rythme, couleur, mouvement,

design, information, sensualité »

Lina Stern

Marilena Lica-Masala : Parles-nous un peu de toi, Lina.

Lina Stern : Je suis née en hiver, le 5 Janvier dans la ville de Svetlovodsk, ville avec une grande rivière qui en français signifie « l’eau claire ». C’est peut-être pour cela que la lumière et l’eau m’influençaient et m’inspiraient toute ma vie. Je suis née déjà en train de peindre, de sentir la couleur, de vivre et de danser. J’ai amené mon propre monde avec moi et je n’ai pas beaucoup cédé à l’éducation, c’était incontrôlable. Enfant tendre mais terrible.

–Peux-tu nous confier qu’est-ce qui t’a amené à la calligraphie et la photographie artistique ?

-Calligraphie, photographie, graphisme, design, littérature, céramique, danse… L’art est un espace naturel ou je me réalise avec légèreté. Je n’ai rien fait de spécial, sauf que j’ai acheté un appareil photo, de l’encre et du papier en ce qui concerne la calligraphie et de la photographie.

–Ton art porte à son cœur les asémiques. Qu’est-ce que c’est un asémique ? T’en es-tu formée en autodidacte ?

-La calligraphie asémique, pour moi, est une sorte des beaux-arts avec laquelle je peux explorer mon monde sensuel, émouvant, en constante évolution. Parfois, la calligraphie est une touche, faisant partie d’un champ joyeux coloré. L’asémique peut être présenté comme le texte des lettres noires sur un papier blanc. Il peut s’agir d’objets circulaires dans lesquels le mouvement part du centre. En tout cas, l’asémique est rythme, couleur, mouvement, design, information, sensualité. Mon travail d’écriture n’est pas automatique, car je sens les lignes et les lettres. J’ai découvert cet art par accident… Durant huit ans, j’ai dessiné des lignes, des formes et des signes incompréhensibles pour tout le monde. Mais ensuite, par hasard, j’ai trouvé sur Internet un groupe d’artistes, poètes, designers, musiciens qui peignent de la manière similaire, créant des pièces uniques, des images expérimentales. Et j’étais très contente de ce fait !

–Comment as-tu commencé à t’intéresser à la photographie de la nature, aux portraits de fleurs, ombres, pierres, rarement d’animaux et plus rarement de silhouettes humaines ? Pourquoi avoir choisi tous ces thèmes ?

-Prendre des photos de la nature, créer des portraits de s fleurs, des arbres, des pierres… Les chats qui dorment au soleil ou les chiens souriants, c’est facile pour moi, car c’est un monde ouvert et convivial. Il est plus difficile de faire des portraits des personnes. Moi et mes modèles avons beaucoup de rôles, de masques et de protections. Mais je souhaite développer en tant que portraitiste et photographe, le jeu de lumière sur les visages des gens.

–Depuis peu de temps, tes photographies surprennent différents personnages dans la vie de tous les jours, notamment les vagabonds (les sans domicile fixe). Les préviens-tu que tu vas les photographier ?

-Oui, moi-même j’ai été surprise d’avoir trouvé ce sujet parmi les fleurs, les jardins et les images de la mer sans fin. De quoi s’agit-il ? Je n’ai pas encore de réponse à cette question. Dans tous les cas, « mes » sans-abri sont des personnes colorées et contemplatives qui ont préservé miraculeusement leur monde et vivent dans la rue. À certains égards, nous nous ressemblons … Dans les photographies, je veux préserver leur détachement, leur puérilité et une certaine folie, donc Je ne préviens pas de vouloir les photographier. Mais je ne dérange pas les personnes endormies, malades ou sans défense avec mon appareil photo. Dans le meilleur des cas, je partagerai avec eux de la nourriture ou de l’argent, si je l’ai ou passe.

–Tes œuvres dissimulent parfois le bonheur de vivre. Est-ce que c’est le reflet de ton âme ?

-Je suis sûr que le bonheur est l’essence de la vie. Au départ, nous sommes tous heureux.

–Dans tes paysages, tu laisses une grande place au mystère, tout comme à la rêverie. Es-tu une romantique ?

LS: Non, je ne me sens pas comme une romantique et j’essaie, dans la mesure du possible, de transmettre avec précision l’état du paysage, tout en maintenant un silence intérieur: ne pas romantiser, même ne pas diaboliser la réalité. Quand il y a un arbre devant moi, j’essaie de devenir arbre, quand il y a la mer – je suis la mer… J’ai appris cela des maîtres anciens japonais qui prétendaient que si vous voulez dessiner un oiseau, devenez oiseau. Soit dit en passant, la culture japonaise, la poésie, la littérature, la musique, la calligraphie ont eu un impact énorme sur moi.

–Il semble que tu aimes plutôt la photographie en couleur que en noir et blanc. Comment expliques-tu cette préférence ?

-La photographie en noir et blanc à mon avis est la plus haute forme de la maîtrise. Je ne peux que viser une telle clarté, précision et perfection, que l’on peut voir sur les photographies d’Henri Cartier-Bresson, Helmut Newton et bien d’autres..

–Parfois, la lumière, les ombres, l’image de tes œuvres que tu les rassembles dans un sort de montage contrastant, demeurent sous le signe du symbolisme. Est-ce que cette tendance est liée à ton séjour à Paris ?

-Paris est une belle ville sensuelle dans laquelle la beauté et l’amour brillent dans l’air avec de la poussière solaire, qui m’a donné l’eau rose de la Seine du matin, des cygnes blancs comme la neige flottant au soleil levant… Trois jours dans le plus artistique quartier – le Marais… Promenades au long du fleuve. Des Ponts, les ponts… Chansons africaines ensoleillées dans le métro. Cette ville m’a donné une connaissance mystique avec deux artistes, Marilena et Dorota, maintenant elles sont mes amies. Ce sont des symboles de bonheur ! Invitée à Paris, j’y serai de retour.

–Quels sont les maîtres photographes qui influencent tes travaux artistiques ?

-Je suis reconnaissante à deux photographes français Joseph Nicéphore Niépce (Point de vue du Gras, 1826) et Louis Daguerre (Boulevard du Temple, 1838), qui ont inventé la photographie et donné au monde une incroyable opportunité de peindre avec la lumière. Je suis inspirée par cette forme d’art. Et regarder des photos de nombreux grands et simples photographes est mon rituel quotidien. J’aime ça.

–Quelles sont-elles les difficultés quotidiennes de la femme Lina Stern ? Peut-elle une artiste photographe et calligraphe vivre de son art actuellement ?

-Je vis au bord de la mer et chaque jour je suis heureuse à ma façon. Ma vie n’est pas très difficile. Un calligraphe et un photographe peuvent-ils vivre de leur art ? Ma réponse oui. Par exemple, ma calligraphie asémique s’intègre idéalement dans les intérieurs de n’importe quel style. Ainsi que des photos de la nature qui ressemblent à des fenêtres vivantes sur les murs, donc c’est à vendre.

–Nos lecteurs aimeraient acheter de tes œuvres. Peux-tu nous renseigner les prix de vente et où en peuvent-ils les trouver ?

– Je remercie nos lecteurs de leur intérêt pour mon art. Cette année, je porte une attention particulière à rendre mon travail plus accessible aux collectionneurs et à toute personne intéressée par la calligraphie, la photographie et le design. Pour le faire, je publie presque tous les jours de nouvelles photos dans mon compte personnel Facebook. J’ai aussi un site internet. Le projet ArtEco a une page sur Facebook et vous pouvez voir ici la calligraphie, les photographies, les mandalas et les objets d’art pour la décoration intérieure. Dans Instagram il y a une page spéciale pour les collectionneurs qui s’intéressent à la petite calligraphie et aux objets d’art de cette année.

Certaines œuvres peuvent être vues et achetées lors d’expositions en Europe. Cette année, je prévois de créer une boutique en ligne où il sera pratique de voir et d’acheter non seulement des originaux mais encore des copies de droits d’auteur d’une édition limitée. J’offre pareillement un service unique – c’est un portrait asémique. Sur un beau papier de 50 x 50 cm, avec le brillant des crayons de couleur, d’or, d’argent, de l’encre. Je peins la beauté de l’âme d’une personne, son vrai portrait.

  • Un mot, Lina, pour nos lecteurs, roumains pour la plupart aux quatre coins de la terre.

– La Roumanie, une belle terre ancienne avec laquelle l’Ukraine, le pays où je vis maintenant, a une frontière maritime et terrestre. Nous sommes très proches ! Nous sommes voisins ! Je respecte le caractère roumain et je me suis pleinement convaincue de la convivialité, de la générosité, de la capacité roumaine de coinquiéter lorsque j’ai rencontré Marilena, dans des circonstances où j’avais besoin d’aide ! Et je l’ai compris ! Je m’en souviendrai toujours ! C’est aussi une joie de réaliser que mon art est une occasion pour des échanges culturels entre nos pays et les gens. Je souhaite à tous ceux qui liront le texte de cette interview d’être heureux, légers et créatifs, même s’il n’y a pas de raison particulière à cela et rappelez-vous que l’essence de la vie est le bonheur! Merci beaucoup !

Mercie, Marilena, infiniment. Les questions profondes de cette interview ont exigé de l’honnêteté, de l’ouverture de coeur de ma part et m’ont fait réfléchir sur qui je suis et ce que je fais. Il s’agit d’une expérience inestimable. Je remercie sincèrement mon amie Eugénie d’avoir rédigé la version française de mes réponses.

Paris, Odessa, 22 mai – 10 iunie 2020

Les œuvres de l’artiste Lina Stern, tout comme ses projets d’art, peuvent être visionnés sur ses comptes Facebook, Instagram et sur son site personnel :

https://www.facebook.com/lina.stern1

https://www.facebook.com/asemic.linastern/

https://www.instagram.com/art.eco.stern/

2 Commentaires .
Tags : Asemique, Calligraphie, Lina STERN, Photographie .

Interviu cu Lina Stern, caligraf, artist fotograf ucrainian

Posté le 13 juin 2020 Par Marilena Publié dans 01.I. INTERVIEWS, 06.A. PARIS ET MOI .

Explorez o lume a mea, senzuală, 

în mișcare, în continuă schimbare

– interviu cu Lina Stern, caligraf, artist fotograf ucrainian –

Caligraf, grafician, ceramist. S-a născut în Ucraina, la Svetlovodsk. Numele oraşul ei de baştină sugerează un vad cu „apă cristalină”. Ne-am întâlnit pe peronul unei vaste autogări pariziene, în ultimele superbe zile de septembrie 2017. Mă întorceam dintr-o călătorie literară în Calabria. Autocarul meu întârzia, iar prietena mea Dorota – artist liric de origine poloneză – aşteptându-mă pe peron, a remarcat o turistă străină care părea că pierduse autocarul. Apropiindu-se de dânsa pentru a o întreba (în franceză) dacă o poate ajuta cu ceva, Dorota a descifrat acordurile limbii ucrainiene de la întâiul sunet al răspunsului Linei. Rămăşiţe de limbă rusă din memoria fiecăreia au devenit limba lor comună, iar în clipa în care am coborât din autocarul de Italia, m-am trezit îmbrăţişată de patru braţe, în loc de două… S-o ajutăm pe Lina să găsească un hotel pentru o noapte şi s-o conducem până acolo, la miezul nopţii, n-a mai fost decât un prilej de bucurie de a fi toate trei împreună. Ideea de a-mi ilustra poemele cu lucrările sale s-a ivit de la sine, în timpul cafelei de rămas bun oferită de Dorota, câteva zile mai târziu, la Porte Maillot, înainte ca Lina să ne fie răpită de un alt autocar care o ducea la aeroport de data aceasta. Aşa s-a născut o prietenie între trei artiste crescute şi formate în culturi diferite ale Europei de Est. De atunci, prietenia noastră a crescut zi de zi, parcă, mai mult. Nu am ştiut niciodată ce-a gândit Lina despre gestul nostru de a nu o lăsa singură, în toiul nopţii, într-o capitală străină a cărei limbă îi era încă taină. Am aflat acum, din răspunsul ei la una dintre întrebările interviului de mai jos.

Dar, să dăm cuvântul invitatei noastre, Lina Stern.

Marilena LICA-MASALA: Lina, mă bucur că ai primit să răspunzi întrebărilor pentru situl comentator.ro! Când mi te-a prezentat Dorota, mi-ai părut o diafană misterioasă făptură. Ce ne poţi spune, te rog, despre tine, în câteva cuvinte?

Lina STERN: M-am născut iarna, la începutul lunii ianuarie, în orașul Svetlovodsk, al cărui nume înseamnă „apă cristalină”. Poate de aceea lumina și apa m-au influențat și inspirat toată viața. M-am născut deja pictând, simțind culoarea, trăind și dansând. Mi-am adus în lume propriul meu univers ce nu voia să intre în tiparele celor mari. Am fost un copil tandru, dar rebel.

MLM: Ce îndemn lăuntric te-a purtat către caligrafie și fotografia artistică?

LS: Caligrafia, fotografia, grafica, dizainul (1), literatura, ceramica, dansul… Arta este spațiul natural în care mă mişc cu ușurință. Cât despre caligrafie ori fotografie, nu am făcut nimic special. Într-o zi, am simţit nevoia de a-mi cumpăra un aparat de fotografiat, cerneală și hârtie.

MLM: Eşti creatoare de asemic. Ce este caligrafia asemică? Ţi-a fost greu să-i înveţi tainele?

LS: Caligrafia asemică este o formă de artă plastică pe care am descoperit-o întâmplător. Desenam linii, forme și semne de neînțeles pentru cei din jur. Apoi, după vreo opt ani, am găsit pe Internet un grup de artiști, poeți, dizaineri, muzicieni care pictau într-un mod similar, creând piese unice, imagini experimentale. Întâlnirea cu ei m-a bucurat. Caligrafia asemică mă ajută cel mai mult să explorez lumea mea, senzuală, în mișcare, în continuă schimbare. Poate fi ca o adiere deasupra unui câmp întins. Alteori, ia formă de litere negre pe hârtie albă. Dar poate lua şi formă circulară, mișcarea începând de la centru către periferie. În orice caz, asemicul are ritm, culoare, mișcare, frumuseţe, informație, senzualitate. Îi simt liniile, literele.

MLM: Eşti un fotograf al naturii, portretist al florilor, umbrelor, pietrelor. Mai rar apar animalele în imaginile tale. Figurile umane şi mai rar.

LS: Da, natura îmi stăpâneşte imaginile. Florile, copacii, pietrele… un pisoi ce doarme la soare sau un câine nu sunt greu de fotografiat. Ei reprezintă o lume deschisă, ușor de observat. Greu este de lucrat portrete de oameni. Eu și modelele mele avem o mulțime de roluri, de măști. Aș dori să mă formez ca pictor portretist, să pot fotografia jocul luminii pe fețele oamenilor.

MLM: De curând, am remarcat în fotografiile tale un personaj pe care-l vedem din ce în ce mai des pe străzile oraşelor europene: vagabondul, omul fără de adăpost. Cum procedezi când întâlneşti astfel de oameni părăsiţi de odaia lor, ostracizaţi în singurătatea multelor bagaje?

LS: M-a surprins să descopăr acest subiect printre florile și grădinile ţărmului mării nesfârșite. Oamenii mei fără adăpost sunt personaje colorate, contemplative, care s-au retras miraculos într-o lume a lor și trăiesc pe străzi. În unele privinţe, semănăm… Când îi fotografiez, vreau să surprind desprinderea lor de lumea înconjurătoare, rămăşiţele copilăriei, o anumită nebunie de a fi altfel, așa că nu-i avertizez. Nu vreau să deranjez aceşti oameni bolnavi, neputincioși, cu aparatul foto, nici atunci când îi văd dormind. Când pot, împart mâncarea sau banii cu ei.

MLM: Lucrările tale povestesc, parcă, bucuria de a trăi. Să fie o reflectare a sufletului tău?

LS: Fericirea este esența vieții. La începuturi, suntem cu toții fericiți.

Umbre de Lina Stern. Aasemic si fotografie

MLM: În peisajele tale, Lina, misterul pare a ocupa un loc important, fie chiar şi în plină lumină a zilei. Ești o romantică?

LS: Nu, nu mă simt romantică. Încerc, pe cât posibil, să transmit cu exactitate starea peisajului, păstrând în același timp o liniște interioară care nu romantizează, dar nici nu demonizează realitatea. Când în fața mea am un copac, încerc să devin un copac. Când e marea – eu sunt marea… Am aflat această învăţătură la maeștrii antici japonezi care spun că dacă vrei să desenezi o pasăre, trebuie să devii pasăre. Cultura japoneză, poezia, literatura, muzica, caligrafia, artele japoneze m-au influenţat mult.

MLM: Se pare că fotografia color îţi stăpâneşte creaţia, cea alb-negru fiind mai estompată.

LS: După mine, fotografia alb-negru este cea mai înaltă formă de măiestrie. Nu pot ţinti claritatea, precizia și perfecțiunea resimţite în fotografiile lui Henri Cartier-Bresson ori Helmut Newton…

MLM: Lumina, umbrele, chipul creaţiilor tale artistice unite în montaje contrastante, stau parcă sub semnul simbolismului. Să fie această tendință legată de șederea ta la Paris?

« Lumini Lumini… » de Lina Stern. Asemic si fotografie

LS: Parisul este un oraș senzual. Acolo, frumusețea și dragostea strălucesc în văzduh, laolaltă cu praful solar al dimineţii roz. Undele Senei par lebede albe ca zăpada plutind sub soarele ivit din ape… Am poposit trei zile în Marais, renumitul cartier al artiştilor… Am mers de-a lungul fluviului. Am traversat poduri, poduri… Am ascultat însorite cântece africane în metroul parizian.

Orașul acesta mi-a scos în cale în mod miraculos două artiste, Marilena și Dorota, care au devenit prietenele mele. Toate aceste amintiri poartă chipul simbolic al fericirii! Mi-a plăcut Parisul și mă voi întoarce.

MLM: Ce maeștrii fotografi te inspiră?

LS: Sunt recunoscătoare celor doi fotografi francezi Joseph Nicéphore Niépce și Louis Daguerre care au inventat fotografia. Au dăruit lumii incredibilul: pictura cu lumină. Mă regăsesc în această artă. A privi creaţiile multor altor celebri fotografi este ritualul meu zilnic.

MLM: Care sunt greutăţile cotidiene ale Linei Stern? Poate o femeie fotograf-caligraf să trăiască din arta ei?

LS: Eu locuiesc lângă mare și în fiece zi sunt fericită în felul meu. Viața mea nu este foarte grea. Pot trăi oare din arta mea? Răspunsul meu este da. Caligrafia mea asemică, de exemplu, se potriveşte oricărui gust. La fel de bine ca lucrările în care natura pare o fereastră vie, proiectată pe ziduri. Oricare dintre lucrările mele este de vânzare. În ultima vreme, am început să execut portrete asemice la comandă. Pe o hârtie frumoasă de 50 x 50 cm, zugrăvesc sufletul omului. Încerc să îi surprind adevăratul chip, folosindu-mă de strălucirea creioanelor colorate, aurii, argintii, ori cernelii.

MLM: Dacă cititorii noștri ar dori să-ţi cumpere lucrările, unde le-ar putea găsi?

LS: Mulțumesc anticipat posibililor cititori pentru interesul de a-mi descoperi arta. Acest an este consacrat vizibilităţii artei mele pe Internet, pentru a o face accesibilă colecționarilor. Sunt pe punctul de a-mi crea un magazin online în care oricine este interesat de caligrafie, fotografie, dizain, va putea intra pentru a vizita și cumpăra nu doar originalele lucrărilor mele, dar şi reproduceri cu drepturi de autor, în ediții limitate. Unele lucrări pot fi văzute și achiziționate în timpul expozițiilor din Europa. Pentru cititorii fideli sitului comentator.ro pot lăsa la redacţie linkurile albumelor online cu lucrările mele. Alte informaţii pot fi obţinute de pe blogul meu, linastern.fr

MLM: Un cuvânt, te rog, pentru cititorii sitului comentator.ro şi blogului meu, aflaţi în toate colţurile lumii.

LS: România, acest frumos antic ținut, are frontieră maritimă și terestră cu Ucraina, țara în care locuiesc acum. Suntem atât de aproape! Suntem vecini! Respect românii, de a căror prietenie, generozitate, capacitate de a ajuta un străin, m-am convins pe deplin când te-am cunoscut, în circumstanțe în care aveam nevoie de ajutor. Îmi voi aminti mereu! De asemenea, este o bucurie să ştiu că arta mea poate folosi schimburilor culturale dintre țările și popoarele noastre.

Doresc tuturor cititorilor acestui interviu să fie fericiți și creativi! Chiar dacă nu există nici un motiv special, să-și amintească că esența vieții este fericirea!

MLM: Şi noi îţi mulţumim, Lina, pentru frumuseţea operei şi gândului tău! Nu-ţi spunem la revedere, ci pe curând!

Paris – Odessa, 10 Cireşar 2020

Ilustraţii:

  1. „Ţărmul şi Marea” de Lina Stern

Grupaj caligrafie asemic şi fotografie

2. „Umbre” de Lina Stern

Grupaj de patru imagini asemic şi fotografie

3. „Lumini Lumini” de Lina Stern

Grupaj de patru imagini asemic şi fotografie

© Lina Stern #LinaStern

(1) Dizain/ dizainer: în acest interviu, conform regulilor fonemice permise de limba română, am adoptat ortografierea fonetică a englezescului „design”/ „designer”.

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Tags : Asemic, Lina STERN .

Mon amie Marie-Léontine Tsibinda

Posté le 1 mai 2020 Par Marilena Publié dans 01.I. INTERVIEWS, 01.I.1. Là, c'est moi qui réponde..., 06. VUES DE L'ODÉON, 06.C. DE MON AFRIQUE .

Il était une fois… eux, les poètes…

 

ou

Comment naît l’amitié entre les poètes

 

Marie-Léontine Tsibinda

 

(I)

 

 

J’ai fait la connaissance de la poète Marie-Léontine Marie Léontine Tsibinda Bilombo il y a une décennie. Une décennie de partage, de travail littéraire, de songes, de constructions en cours. Prises toutes les deux par le dressement de nos destins littéraires loin de nos patries natales, il nous reste très peu de temps pour bavarder tous les jours. Mais, lorsque nous le faisons, la parole prend la forme d’un démiurge au visage matériel…
J’ai connu Marie-Léontine grâce au talentueux journaliste Marie Alfred Ngoma qui, à son tour, m’a été présenté par un autre grand ami Congolais, poète lui aussi, et tout s’est enchaîné…
J’ai lu de ses poèmes et choisi certains à traduire en roumain pour les revues OGLINDA LITERARA (Le miroir littéraire) de la ville de Focsani, et POEZIA, de la ville de Iasi, tout comme pour le premier tome ARC (Afrique-Roumanie-Caraïbes), <<Du Congo au Danube>>, une anthologie bilingue français-roumain des poètes contemporains demeurant les rives des deux fleuves, Le Congo et le Danube. Anthologie et fleuves ont inspiré au poète Aimé Eyengué la première conférence sur un ancien projet à lui, la <<Fleuvitude>>. Mouvement littéraire d’abord, la Fleuvitute a prêté son blason à la maison des Editions de la Fleuvitude…
*
Une fois le manuscrit prêt, j’ai invité Marie Léontine Tsibinda Bilombo à rédiger la préface en français. Le même rôle j’ai donné au poète ami Marius Chelaru : la rédaction d’une introduction en roumain. Il faut lire en parallèle les deux textes de ces deux grandes plumes de la poésie congolaise et de la poésie roumaine ! On se rend compte que le pont littéraire jeté entre deux pays grâce à l’un de mes rêves d’enfance, était pas uniquement prédestiné, mais qu’il est une forme vivante, un personnage qui prend vie grâce à l’enthousiasme de ceux qui l’ont fait vivre, à ceux qui le rendent inédit, immortel.
*
Un autre projet est issu de la rencontre avec Marie Léontine : la traduction de l’un de ses beaux contes de fée en roumain, travail que j’ai volontiers partagé avec une très chère amie poète, Ilzi Sora. Relecture en roumain : Lucian Pîrvulescu, le fils d’un génial poète pitestois, Octav Pîrvulescu.
*
Et ce jour de fête… en cadeau de Marie-Léontine : l’interview avec moi, mise en ligne sur son blog !

C’est le meilleur de tous les cadeaux au monde !

Merci, Marie-Léontine, pour cet échange de si loin de si proche…

Paris, le 1er Mai 2020

Illustration : La leçon de la Peinture et de la danse par Lina Stern

MARILENA LICA-MASALA – Rebelle, bohème, passionnelle et femme d’action

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Tags : Lina STERN, Marie-Léontine Tsibinda Bilombo .

Osman Bozkurt: Poezia este graiul mişcării, nu al încremenirii (4)

Posté le 26 juillet 2018 Par Marilena Publié dans 01. ATELIER, 01.I. INTERVIEWS .
Osman Bozkurt, Emil Lungeanu şi Marian Ilie

Poetul Osman Bozkurt, criticul literar Emil Lungeanu şi poetul Marian Ilie, mai 2018

(urmare din pagina 3)

Poezia este iubire. Dragoste. Visare. Evoluţie.

Marilena Lică-Maşala: Mulţi dintre foştii studenţi şi tineri poeţi, intelectuali, prozatori, cineaşti, dramaturgi prigoniţi în ţările lor pentru tendinţele militante pentru respectarea şi garantarea drepturilor fundamentale ale Omului, inclusiv al minorităţilor, s-au refugiat în Occident, mai ales după ce au fost siliţi să ia calea pribegiei. Unii dintre dânşii au fost exilaţi după mulţi ani de temniţă cu episoade de schingiuire de neconceput în a doua jumătate a secolului trecut, ori în ultimele decenii. Printre refugiaţii politici pe care i-am cunoscut în Franţa – faimos pământ de primire a foştilor deţinuţi politici, fie ei de stânga ori de dreapta – se află în primul rând poeţi. Astfel, i-am cunoscut personal pe Jean Méttelus, Gérald Bloncourt, Abdellatif Laâbi, Pedro Vianna, Kazem Shahryari, Amer Toussi, Marie Léontine Tsibinda, Léopold Congo-Mbemba, Amirul Arham, pentru a invoca doar câteva nume. Poemele lor sunt traduse şi publicate în diferite reviste literare din România, precum şi în antologii bilingve. Există o corelaţie între poezie şi răzvrătire?

Osman Bozkurt: Poezia este iubire. Dragoste. Visare. Evoluţie. Poezia este natura omului. Omul este stăpân pe natura sa. Nu poate trăi fără iubire, este stăpân pe iubirea lui. Visul omului se poate schimba, dar el nu poate trăi fără vise. În consecinţă, poezia este glasul mişcării, nu al încremenirii. Aşa stând lucrurile, fără îndoială că între poezie şi mişcare există o legătură. A considera poezia o simplă revoltă politică înseamnă a o nedreptăţi. Poezia este mult mai mult decât atât.

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Tags : Abdellatif Laâbi, Amer Toussi, Amirul Arham, Doina Cetea, editura Betta, Gérald Bloncourt, Hanna Bota, Ilie Marian, Ion Cristofor, Jean Méttelus, Kazem Shahryari, Léopold Congo-Mbemba, Marie-Léontine Tsibinda, Nermin Yusuf, Nevzat Yusuf Sarıgöl, Nicolae Rosu, Pedro Vianna .

Osman Bozkurt: Poezia este graiul mişcării, nu al încremenirii (3)

Posté le 26 juillet 2018 Par Marilena Publié dans 01. ATELIER, 01.I. INTERVIEWS .
Osman Bozkurt, Emil Lungeanu şi Marian Ilie

Poetul Osman Bozkurt, criticul literar Emil Lungeanu şi poetul Marian Ilie, mai 2018

(urmare din pagina 2)

Literatura, inclusiv poezia, reprezintă strădania de umanizare sub toate aspectele

Marilena Lică-Maşala: Cum s-a acomodat mâna copilului ce-a ţinut coarnele plugului la arat, cu metafizica brazdei lirice a bărbatului de mai târziu?

Osman Bozkurt: Nu înţeleg prea bine la ce anume vă referiţi, dar, omul este creatura însufleţită care se adaptează cel mai repede la condiţii [de mediu]. Mai mult, o face din proprie voinţă. Sper ca răspunsul meu la întrebarea anterioară, legată de sensibilitatea lirică, să lămurească modul în care m-am acomodat.

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Tags : Emil Cioran, Marian Ilie, Osman Bozkurt, Victor Jara .

Osman Bozkurt: Poezia este graiul mişcării, nu al încremenirii (2)

Posté le 26 juillet 2018 Par Marilena Publié dans 01. ATELIER, 01.I. INTERVIEWS .
Osman Bozkurt, Emil Lungeanu şi Marian Ilie

Poetul Osman Bozkurt, criticul literar Emil Lungeanu şi poetul Marian Ilie, mai 2018

(urmare din pagina anterioară)

Invitat de onoare al editurii şi grupului literar Betta, a fost vedeta standului organizat de editura respectivă la salonul de carte Bookfest, Bucureşti, ediţia mai 2018. Călătoria sa literară în România a avut ca scop lansarea, în prezenţa sa, a unui florilegiu din volumele sale, poemele fiind alese şi traduse în româneşte de Nermin Yusuf şi Nevzat Yusuf Sarıgöl, sub titlul Düşlerin esintisi/ Şoapta viselor. Poet, prozaor, eseist, publicist, Osman Bozkurt a primit să ne răspundă la câteva întrebări pentru blogul nostru şi presa literară din România. Mulţumim poetului Marian Ilie pentru bunăvoinţa de a fi primit să ne tălmăcească răspunsurile.

Marilena Lică-Maşala: Unde v-aţi petrecut copilăria? Aţi fost un copil fericit?

Osman Bozkurt: Şcoala primară am urmat-o în satul în care m-am născut. (7) Cursurile gimnaziale le-am urmat în centrul comunal, iar pe cele liceale la Liceul economic din Ankara. Era singurul liceu cu acest profil din Turcia. În fiecare an erau admişi 60 de elevi, în urma unui examen la care puteau participa numai absolvenţii foarte buni din toate şcolile gimnaziale din ţară.

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Tags : Ardanuç, Metris Cezaevi, Osman Bozkurt, provincia Artvin .

Osman Bozkurt: Poezia este graiul mişcării, nu al încremenirii (interviu)

Posté le 26 juillet 2018 Par Marilena Publié dans 01. ATELIER, 01.I. INTERVIEWS .
Osman Bozkurt, Emil Lungeanu şi Marian Ilie

Poetul Osman Bozkurt, criticul literar Emil Lungeanu şi poetul Marian Ilie, mai 2018

Interviu

cu

Osman Bozkurt

poet, eseist, prozator, publicist

Poezia este graiul mişcării, nu al încremenirii

Preambul

Osman Bozkurt, invitat de onoare al editurii şi grupului literar Betta, a fost vedeta standului organizat de editura respectivă la salonul de carte Bookfest, Bucureşti, ediţia mai 2018. Călătoria sa literară în România a avut ca scop lansarea, în prezenţa sa, a unui florilegiu din volumele sale, poemele fiind alese şi traduse în româneşte de Nermin Yusuf şi Nevzat Yusuf Sarıgöl, sub titlul Düşlerin esintisi/ Şoapta viselor.

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Tags : Aureliu Goci, Doina Cetea, Eliza Roha, Emil Lungeanu, Erem Melike Roman, Marian Ilie, Nermin Yusuf, Nevzat Yusuf Sarıgöl, Nicolae Rosu, Osman Bozkurt, Valentin Taşcu, Victor Atanasiu .

De la Fleuvitude – interview avec l’écrivain Aimé EYENGUE (6)

Posté le 9 juillet 2016 Par Marilena Publié dans 01.I. INTERVIEWS .

(6)

"Par les temps qui courent", traité poétique d'Aimé Eyengué

« Par les temps qui courent », traité poétique d’Aimé Eyengué

– Est-ce que l’anthologie bilingue, français-roumain, « Du Congo au Danube », a pu apporter sa graine au mouvement de la Fleuvitude, lorsqu’il se trouvait en germe ? Est-ce que cet ouvrage se retrouve parmi les sources qui vous ont inspiré la « pierre philosoph

ale » de l’intitulé « Fleuvitude » ?

– A priori non, dans une considération stricto sensus ; mais, a posteriori, la réponse peut être nuancée, du seul fait que cette anthologie de 2011 consacrant, dans un voyage de l’esprit, l’union ou la jonction d’auteurs originaires des deux fleuves éponymes, le premier étant d’Afrique et l’autre d’Europe, tout comme toutes les autres dynamiques et évocations littéraires ayant trait aux fleuves, notamment au fleuve Congo, ont existé avant l’élaboration du concept même de la Fleuvitude, qui n’a vu le jour officiellement que dans la publication, je le rappelle, de notre ouvrage Par les temps qui courent… en 2015.

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Tags : "Fleuvitude", Aimé Eyengué, Boniface Mongo-Mboussa, Liss Kihindou, Négritude .

De la Fleuvitude – interview avec l’écrivain Aimé EYENGUE (5)

Posté le 9 juillet 2016 Par Marilena Publié dans 01.I. INTERVIEWS .

– Est-ce qu’il y a une liaison entre la Fleuvitude et la Négritude ?

"Par les temps qui courent", traité poétique d'Aimé Eyengué

« Par les temps qui courent », traité poétique d’Aimé Eyengué

– Bien évidemment, oui. Ce premier Congrès International s’emploiera à la démontrer aussi. D’ores et déjà, il vous suffit de considérer toutes mes réponses à vos questions précédentes, pour vous en rendre compte : à mon sens, cela est une évidence, qui coule de source même (rires), comme de l’eau de roche… (sourire) ; notamment, lorsqu’on considère la métaphore du Lamentin du Fleuve Congo élaborée par Senghor dans son évocation de la Négritude, qui, elle-même s’inspire aussi du Panafricaniste afro-américain, Dubois, qui inspire également Langston Hugues, avec My Soul has grown deep like the Rivers, dans sa démarche sur l’Universel…

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Tags : "Fleuvitude", Aimé Eyengué, Boniface Mongo-Mboussa, Liss Kihindou, Négritude .

De la Fleuvitude – interview avec l’écrivain Aimé EYENGUE (4)

Posté le 7 juillet 2016 Par Marilena Publié dans 01.I. INTERVIEWS .

De la Fleuvitude

– Interview avec l’écrivain Aimé EYENGUE –

(quatrième partie)

Le premier Congrès International de la Fleuvitude : automne 2016, à Bangui, République Centrafricaine

 

 

– Récemment, vous avez organisé la première Conférence sur la Fleuvitude, à Paris. Quels sont les résultats de votre échange avec le public ?

– Oui, c’était la première conférence sur la Fleuvitude à Paris en 2016 ; car, il y a eu une série de conférences et d’échanges sur la Fleuvitude, bien avant cette session de Paris, tenue à l’Espace des débats des éditions L’Harmattan, sis rue des Ecoles, près de la Sorbonne.

En fait, la Fleuvitude a été présentée officiellement au public dès la sortie, au mois de juin 2015, de mon livre Par les temps qui courent… au marché de la Poésie de Paris, Saint-Sulpice. Ensuite, j’ai tenu une conférence en milieu universitaire, à l’Université Marien Ngouabi de Brazzaville, au mois de juillet 2015 ; puis deux conférences au Centre Culturel Russe de Brazzaville au même mois de juillet (où nous avons épilogué longuement sur la Volga russe) ; et puis encore une conférence, au mois d’août 2015, sur les lieux même où le Français le plus célèbre de l’Histoire de France tint, du 30 janvier au 8 février 1944 (en pleine deuxième guerre mondiale, s’il vous plaît, quand la France est occupée, Paris assiégé par les Nazis, Brazzaville devenue, comme le fleuve, LA CAPITALE DE LA FRANCE LIBRE), la Conférence de Brazzaville, à quelque dix mètres de distance seulement du Fleuve Congo (avec le dénouement que nous connaissons tous) ; lieux qui sont devenus, depuis 1968, le Centre de Formation et de Recherches en Art Dramatique (CFRAD) de Brazzaville, sous la gouverne du poète Maxime N’débeka, revenu dans cette salle après toute cette époque historique pour nous honorer.

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Tags : "Fleuvitude", Aimé Eyengué .
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