Ô, toi, petite fleur aux pétales fines
De fraîche vivante mousseline,
Toi qui dévoiles au monde la flamme solaire
Et la pourpre brodée de l’amour blancheur,
Sauras-tu, hélas, rappeler aux Dieux
Le poème écrit de mes pas joyeux
Au bras d’un cèdre si majestueux
Posant son vécu sur mes joues ?
—
Derrière, l’herbe dérobe la pluie
Des baisers trouvant l’oubli
Au Parc Montsouris…
Luli de Teiu
Crédit photo : Marilena Lica-Masala, Au Parc Montsouris, Paris 14e