Archives mensuelles: avril 2016
Luminată să fie credincioşilor creştini ortodocşi calea, în această Sfântă Noapte a Învierii Domnului nostru Iisus Cristos!
Prietenilor, neamurilor, consătenilor mei, le urez din inimă să petreacă Sfintele Paşti cu bucurie!
A « La Petite Hostellerie »
avec
Jean Paul Abulker
Décor rustique, ancienneté, élégance, séduction, raffinement, promptitude, courtoisie du personnel… Voici, en somme, les premières vertus du restaurant « La Petite Hostellerie. »
Une découverte inédite au cœur de Paris, dont je remercie le poète Jean Paul Abulker !
Dialoguri sibicene
Ieri mi-am continuat exerciţiile de deplasare autonomă şi am reuşit, „teleap, teleap, de la tufă la tufă”, să parcurg trei kilometri. Hannibal trecând Alpii, ce mai !
Apoi m-am aşezat pe-o buturugă, că ostenisem… Mă uitam la natură, când, deodată a apărut o mierlă. S-a lăsat prin iarbă, mergea ca omu’ şi o durea în pene de prezenţa mea !
Mă uit la ea, ea se uită la mine şi cred că m-a plăcut.
Spun asta pentru că am întrebat-o ceva şi ea mi-a… răspuns !
De Bagdad à Paris
« Alaq Luminance »
Un nouveau voyage des artistes iraquiens entre les deux fabuleuses capitales culturelles de l’humanité, Bagdad et Paris, sous l’égide de « Iraqi New Art Association », nous a réunis à la non pas moins légendaire Galerie L’Harmattan dirigée par Osama Khalil, ce soir du jeudi 28 avril 2016.
En présence de Ghani Alani, Grand Maître Calligraphe franco-irakien, et de son épouse, Madeleine Guérin, le vernissage a été inauguré par l’artiste Ali Jebur Al Baghdadi et animé par la talentueuse amphitryonne Fatima Guemiah.
Place de la République
« Nuit debout », mouvement en permanence
Depuis quatre semaines, les Parisiens restent debout lors des nuits pour mieux veiller contre l’indifférence de l’oligarchie politique à l’égard de la pauvreté en croissance.
Si durant les 28 nuits déjà écoulées, ils ont eu pour raison la veille contre la loi du travail, cette nuit, les Parisiens ont a surmonté encore un défi : avec Salah Abdeslam en France, qui peut s’endormir ?
Si on dit
Si on dit vacances, on dit Charles de Gaulle.
Si on dit Charles de Gaulle, on dit RER B.
Et si on dit RER B, on dit surprises, suspens, impasse…
Malgré tous les perturbations du trafic sur la ligne du RER B, un train sur deux, suite au mouvement social du mardi 26 avril, j’ai pu faire Paris – Aéroport CDG, aller – retour, en ni trois heures…
En allant, j’ai lié d’amitié avec les larmes d’une femme…
Je ne peux pas rester indifférente lorsqu’une femme pleure à mes côtés. Ses larmes sont mes larmes et sont les larmes de ma mère, les larmes de mon père, les larmes de mon fils, les larmes de mon oncle, les larmes de ma tante, les larmes de mes grands-parents… Ses larmes me font imaginer les larmes de ma belle-fille, les larmes de mes petites-filles, les larmes de mes amies…
J’ai lui offert un bonbon à pâte d’amande pour lui effacer les larmes, pour l’aider se détacher de ce présent où c’est possible encore d’être blessé, voir insulté dans le métro parisien ou le RER, par des inconnu(e)s… Même oublier. Il faut oublier les situations amères. Oublier ce n’est pas facile, mais, c’est possible.
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Désormais…
Le petit conte de mon soulier de Cendrillon
Chacun se méfier de quelque chose au long parcours de sa vie. Désormais, je me méfierai de l’homme me déclarant l’ardeur de son « je t’aime… »
L’amour de l’homme devrait être générosité, altruisme, dévouement… Bien que non. Surtout pas ou très rarement, à nos jours ! Ce mot chevaleresque « je t’aime » demeure dans son cachet livresque…
L’homme qui m’aimait, me demandait en échange de la grandeur de sa déclaration, de porter les pantoufles qu’il me les a gentiment confectionnées de son amour. Des jolies aux très fines traces d’argent tressés de petits grains d’ambre, mais dans lesquels mes pieds se sentaient un peu pénible… Ne voulant pas le décevoir, j’ai tout fait pour les porter… Ô, pendant les nuits, je me donnais du courage pensant à la chance du soulier de Cendrillon !
J’ai tout fait pour adapter mon pas à la petitesse des pantoufles d’amour de mon charmant gentilhomme du 16e arrondissement ! Jusqu’au jour où j’ai senti que je perds la cadence de mon existence…
Sans un mot, au petit matin, j’ai discrètement abandonnées les pantoufles non confortables au seuil en pierre brute de son portail, pour reprendre l’errance de mes pieds nus… Ô, comme ils étaient heureux d’avoir retrouvé les aspérités des cailloux sous leur pas vers la liberté…
L’arrivée du jour aux vitres de ma chambrette… Quel mystère ! Quel bonheur ! Quelle ressemblance à nombre de ravissant potron-minet de mon enfance !
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« Sigila »
revue transdisciplinaire franco-portugaise
sur le scret
à son 37e numéro…
- Photoreportage du lancement à l’Ambassade du Brésil

Lancement « Sigila 37 », de droit à gauche : Gilda Oswaldo Cruz – pianiste, Antonio Vieira – écrivain, Florence Lévi – directrice de publication, Pedro Vianna – poète, Monique Le Moing – traductrice
http://www.sigila.msh-paris.fr/-Presentation-.html
En guise d’argument
Parfois, le passé se mêle à notre présent curieusement. Un événement dans la vie d’un proche, peut nous déclencher des souvenirs voilés par le passage du temps…
Pedro Vianna, un cher ami poète parisien, m’invita le 5 avril au lancement du 37e numéro de la revue « Sigila ». Il intervenait par la lecture en portugais de quelques poèmes d’auteurs brésiliens, traduits et lu en français lors du même événement, par Monique Le Moing.
Rien de mes tripes ne peut résister à la séduction de l’appel du nom de ce pays, si loin si proche, qui m’interpelle depuis plus une décennie.
Dès que j’ai eu la nouvelle, des souvenirs m’ont plongé dans le passé jusqu’au jour où, grâce à l’Académicien Eugen Simion et au Professeur Gh. Barbu, Recteur de l’Université de Pitesti, j’ai connu SEM Jerônimo Moscardo, l’Ambassadeur du Brésil à Bucarest.